Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Temps -- Mesure | Dessins et plans | Temps, Mesure du | Sabliers | Horloges et montres | Heures (temps) | Dix-huitième siècle | Physique | Montres-bracelets | Clip art | Observatoires astronomiques | Horlogerie | Temps (météorologie) | Alimentation | Aiguilles (horlogerie) | Marégraphes | Coucous (oiseaux) | Montres de poche | Pendules musicales | ...
La seconde intercalaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096b2d8-la-seconde-intercalaire

La seconde intercalaire

Une seconde intercalaire, également appelée saut de seconde ou seconde additionnelle, est un ajustement d'une seconde du Temps universel coordonné (UTC). Et ce, afin qu'il reste assez proche du Temps universel (UT) défini quant à lui par l'orientation de la Terre par rapport aux étoiles. Afin de maintenir l'UTC, conformément à sa définition, à moins de 0,9 seconde du temps universel (UT1), il convient parfois d'ajouter ou de retrancher une seconde intercalaire. Ce système a été introduit en 1972 et permet de tenir compte simplement du ralentissement de la rotation de la Terre. En effet, si l'UTC est extrêmement stable, mesuré par un ensemble d'horloges atomiques, la durée d'un jour solaire moyen, liée à la rotation de la Terre, l'est beaucoup moins. De nombreux facteurs plus ou moins périodiques influencent cette rotation. Le facteur dominant à long terme est le ralentissement de la rotation terrestre dû à la dissipation d'énergie dans les phénomènes des marées. D'une façon générale la date de la prochaine seconde intercalaire n'est pas prévisible avec exactitude. Les secondes intercalaires sont ajoutées ou retranchées à la fin de la dernière minute du dernier jour du mois précédant le 1er juillet ou le 1er janvier. De plus, si le ralentissement ou l'accélération de la rotation de Terre devait s'accroître de sorte que l'écart maximum de 0,9 s ne puisse plus être assuré dans la même période de 6 mois, il serait possible d'insérer ou de retrancher une seconde intercalaire supplémentaire avant un 1er avril ou un 1er octobre. Entre sa mise en place en 1972 et le 30 juin 2012, 25 secondes intercalaires ont été ajoutées.

Le garçon - horloge. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a7488-le-garcon-horloge

Le garçon - horloge

Un garçon promenant le temps dans les rues de Mérida au Mexique : "Luis aqui da la hora. Pulseras. Relojes. Llevese la mercancia con un pequeno enganche". Il est 16h22.

Le gyroscope de Foucault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a797d3-le-gyroscope-de-foucault

Le gyroscope de Foucault

Le gyroscope fut inventé et nommé en 1852 par Léon Foucault pour une expérimentation impliquant la rotation de la Terre. La rotation avait déjà été mise en évidence par le Pendule de Foucault. Cependant Foucault ne comprenait toujours pas pourquoi la rotation du pendule s'effectuait plus lentement que la rotation de la Terre. Un autre instrument était donc nécessaire pour mettre en évidence la rotation de la Terre de façon simple. Foucault présenta ainsi en 1852 un appareil capable de conserver une rotation suffisamment rapide (150 à 200 rotations par seconde) pendant un laps de temps suffisamment long (une dizaine de minutes) pour que des mesures observables puissent être effectuées. Cette prouesse mécanique (pour l'époque) illustre le talent en mécanique de Foucault et de son collaborateur, Froment. Foucault se rendit aussi compte que son appareil pouvait servir à indiquer le nord. En effet, en bloquant certaines pièces, le gyroscope s'aligne sur le méridien. Le compas gyroscopique était né. On trouvera également ce dispositif pour le guidage inertiel des missiles et, par exemple, le pilotage vers la Lune lors du programme Apollo. On en trouve également dans les satellites artificiels pour le contrôle de l'altitude.

Le pendule du lustre de Pise. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b008c7-le-pendule-du-lustre-de-pise

Le pendule du lustre de Pise

Plafond et lustre de Pise, Vincenzo Possenti, 1586. Galilée commence par démontrer plusieurs théorèmes sur le centre de gravité de certains solides dans son "Theoremata circa centrum gravitatis solidum" et entreprend en 1586 de reconstituer la balance hydrostatique d'Archimède ou Bilancetta. En même temps, il poursuit ses études sur les oscillations du pendule pesant et invente le pulsomètre. Cet appareil permettait d'aider à la mesure du pouls et fournissait un étalon de temps, qui n'existait pas à l'époque. Il débute aussi ses études sur la chute des corps.

Logo de calendrier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d6f680-logo-de-calendrier

Logo de calendrier

Logo de calendrier utilisé pour le site du Crieur-public.

Machine d'Atwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c74c39-machine-d-atwood

Machine d'Atwood

Machine d'Atwood (surcharge à gauche, masse à droite) : Atwood (1746-1807) est surtout célèbre chez les élèves de terminales math. élém. des années 1945-1972, par sa « machine » hautement didactique qui permettait de s'entraîner sur la bonne application de la « relation fondamentale de la dynamique » (deuxième loi de Newton) et/ou la conservation de l'énergie mécanique. Tous les grands lycées de France possèdent sans doute encore, dans leurs placards, une machine d'Atwood. Du point de vue expérimental, l'appareil fut l'objet d'un travail soutenu durant au moins un siècle, ce qui permit de tenir compte de beaucoup de correctifs. Néanmoins, pouvoir placer l'appareil dans un grand tube de Newton est resté l'apanage des très grands lycées. La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Galilée est le premier à chercher comment la ralentir, sans la « dénaturer » : il pensa au plan incliné d'angle α (où intervient seulement g⋅sinα), puis à la succession de plans inclinés. La difficulté pour Galilée restait la mesure du temps… Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses.

Marégraphe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bf68fc-maregraphe

Marégraphe

Marégraphe avant son immersion dans un port en 2004, Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP). Un marégraphe est un instrument permettant de mesurer le niveau de la mer à un endroit donné. Le principe du marégraphe est simple, situé dans un emplacement précisément identifié, le marégraphe enregistre le niveau de la mer au cours du temps. La complexité du marégraphe ne réside donc pas dans son principe mais dans la technologie mise en jeu, pour l'étalonnage des mesures, l'enregistrement… Les marégraphes numériques côtiers fonctionnent par un principe d'émission-réception d'ondes acoustiques (40-50 kHz) ou radar (> 1 GHz)). Un transducteur est placé au dessus de la surface de l'eau, il émet une impulsion et capte le signal réfléchi. Le temps écoulé entre l'émission et la réception du signal est traduit en hauteur de la colonne d'eau. Le transducteur effectue plusieurs mesures périodiquement puis les mesures sont moyennées afin de limiter les effets de la houle ou du clapot. Le réseau d'observation des côtes françaises est principalement constitué de ce type de marégraphe.

Marégraphe de Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bf6e05-maregraphe-de-marseille

Marégraphe de Marseille

Marégraphe de Marseille, mis en place en 1883 au numéro 174 de la Corniche à Marseille, dans l'Anse Calvo. Le but était de déterminer une origine des altitudes françaises. Les mesures ont été effectuées en continu du 1er janvier 1884 au 31 décembre 1896, sur 13 ans. Le 1er janvier 1897, la moyenne arithmétique de l'ensemble des mesures effectuées pendant ces treize années a déterminé le niveau moyen de la mer en ce lieu. Ce niveau moyen a été adopté comme l'altitude zéro de référence français. Le MCN fait partie d'un réseau national d'observatoires marégraphiques, gérés par le SHOM (Service Hydrographique et océanique de la Marine) et d'un réseau mondial. Les données sont visualisables en temps quasi-réel et en temps différé et téléchargeables après inscription sur le portail des Réseaux de référence des observations marégraphiques REFMAR. Les niveaux moyens (journaliers, mensuels et annuels) sont quant à eux disponibles sur le portail SONEL.

Mécanisme de pendule à coucou. Source : http://data.abuledu.org/URI/573aa0e3-mecanisme-de-pendule-a-coucou

Mécanisme de pendule à coucou

Mécanisme de pendule à coucou.

Méridien de Greenwich à Londres. Source : http://data.abuledu.org/URI/53275998-meridien-de-greenwich-a-londres

Méridien de Greenwich à Londres

Le méridien de Greenwich à Londres.

Mesure de la distance par radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f4af-mesure-de-la-distance-par-radar

Mesure de la distance par radar

Principe de mesure de la distance par sonar ou radar.

Métronome . Source : http://data.abuledu.org/URI/50f0318c-metronome-

Métronome

Un métronome est un instrument donnant un signal audible ou visuel permettant d'indiquer un tempo, vitesse à laquelle doit être jouée une musique. Il est surtout utilisé dans l'étude d'une partition, la mise en place d'une interprétation ou la recherche du minutage (timing) d'une œuvre musicale.

Métronomes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b00587-metronomes

Métronomes

Métronome électronique simple à gauche et métronome mécanique à ressort à droite : Inventé à Amsterdam en 1812 par l'horloger hollandais Dietrich Nikolaus Winkel (vers 1780-1826), le métronome traditionnel à pulsation audible fut breveté en 1816 par l'Allemand Johann Nepomuk Maelzel. Il est constitué d'un mouvement d'horlogerie à échappement muni d'un balancier gradué dont les battements (c'est-à-dire les pulsations) déterminent des durées égales (c'est-à-dire les temps), un contrepoids mobile coulissant sur le balancier permettant de modifier la vitesse (c'est-à-dire le tempo). Chaque graduation indique une subdivision de la minute. Par exemple, 60 signifie soixante pulsations par minute, soit une oscillation par seconde; 120 = cent-vingt pulsations par minute, soit deux oscillations par seconde, etc. Les instrumentistes et chefs d'orchestre lui préfèrent au XXIe siècle les métronomes électroniques apparus au cours de la deuxième moitié du XXe siècle et dont il existe un grand nombre de modèles plus ou moins perfectionnés, moins encombrants, plus précis et surtout plus fiables.

Minkowski, le trajet d'un photon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad7bd4-minkowski-le-trajet-d-un-photon

Minkowski, le trajet d'un photon

Référentiel inertiel de Minkowski : Ligne d'univers du photon. En jaune le trajet d'un photon x = ct, avec c = vitesse de la lumière. Le diagramme de Minkowski est un diagramme d'espace-temps développé en 1908 par Hermann Minkowski, qui fournit une représentation des propriétés de l'espace-temps défini par la théorie de la relativité restreinte. Il permet une compréhension qualitative et intuitive de phénomènes comme la dilatation du temps, la contraction des longueurs ou encore la notion de simultanéité, sans utiliser d'équations mathématiques. Pour la lisibilité du diagramme, une seule dimension spatiale est représentée. Contrairement aux diagrammes distance/temps usuels, la coordonnée spatiale est en abscisse et le temps en ordonnée. Les objets décrits par ce diagramme peuvent être pensés comme se déplaçant du bas vers le haut à mesure que le temps passe. La trajectoire d'un objet dans ce diagramme est appelée ligne d'univers. Une particule immobile aura une ligne d'univers verticale. Chaque point du diagramme représente une certaine position dans l'espace et le temps. Cette position est appelée un événement, indépendamment du fait qu'il se passe réellement quelque chose en ce point ou non. Pour faciliter l'utilisation du diagramme, l'axe des ordonnées représente une quantité "ct" qui est le temps multiplié par la vitesse de la lumière "c". Cette quantité est assimilable également à une distance. De cette manière, la ligne d'univers du photon est une droite de pente 45°, l'échelle des deux axes étant identique dans un diagramme de Minkowski.

Minuterie. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c2fea-minuterie

Minuterie

Minuterie montée dans une boîte en plexiglas pour un projet d'ingérieurs.

Minuteur de cuisine. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c2ef5-minuteur-de-cuisine

Minuteur de cuisine

Minuteur de cuisine réglé à 7 secondes.

Montre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51546153-montre

Montre

Une montre est un instrument de mesure du temps qui se porte sur soi (au poignet, dans la poche ou suspendu).

Montre de gousset. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a61a4-montre-de-gousset

Montre de gousset

Montre de gousset. Il est 3h01 ou 15h01.

Montre de plongée. Source : http://data.abuledu.org/URI/53859507-montre-de-plongee

Montre de plongée

Montre de plongée.

Montre de poignet. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7c42b-montre-de-poignet

Montre de poignet

Montre-bracelet mécanique. Il est 1h47 ou 13h47.

Orbite terrestre pour calcul de l'équation du temps. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dab8a7-orbite-terrestre-pour-calcul-de-l-equation-du-temps

Orbite terrestre pour calcul de l'équation du temps

Orbite terrestre pour expliquer l'équation du temps : la Terre T tourne sur elle-même et tourne autour du Soleil S en un an dans le plan de l'écliptique. La situation présentée correspond à l'automne. Le point P est le périhélie, atteint au début du mois de janvier. L'angle heta s'appelle anomalie vraie. L'axe gamma, appelé axe vernal ou point vernal, est l'intersection du plan de l'écliptique avec le plan équatorial. Il sert d'origine pour mesurer la longitude écliptique lambda_s.

Pendule de la gare de Zurich. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a3b52-pendule-de-la-gare-de-zurich

Pendule de la gare de Zurich

Pendule de la gare de Zurich. Midi (ou minuit) quarante et quarante-trois secondes.

Pendule traditionnelle à coucou. Source : http://data.abuledu.org/URI/573aa021-pendule-traditionnelle-a-coucou

Pendule traditionnelle à coucou

Pendule traditionnelle à coucou.

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne . Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6233-phare-de-ouistreham-

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne

Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham

Point vernal et coordonnées équatoriales. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b09b37-point-vernal-et-coordonnees-equatoriales

Point vernal et coordonnées équatoriales

Sur la sphère céleste, l'équateur et l'écliptique se croisent. Les deux intersections sont appelées des nœuds. Au cours de son mouvement apparent, le Soleil croise ces deux points, l'un en passant de l'hémisphère Nord à l'hémisphère Sud, c'est le nœud descendant ; l'autre en passant de l'hémisphère Sud à l'hémisphère Nord, c'est le nœud ascendant. Ce dernier est le point vernal (noté γ, parfois g), parfois noté point de l'équinoxe vernal ou point de l'équinoxe de printemps. Les références du système de coordonnées équatoriales sont d'une part le méridien passant par le point vernal, il définit le méridien zéro pour la mesure des ascensions droites, et d'autre part l'équateur céleste à partir duquel la déclinaison est mesurée (positivement au-dessus de l'équateur, négativement en dessous). Les coordonnées du point vernal sont l'ascension droite (α) = 0 h (étant situé sur le méridien zéro) et sa déclinaison (δ) est nulle (étant situé sur l'équateur céleste). Le point vernal étant défini comme le croisement de l'écliptique et de l'équateur céleste, il change de position avec les mouvements de précession et de nutation de l'axe de rotation de la Terre. Ces paramètres sont déterminés par l'"International Earth Rotation and Reference Systems Service" (IERS) en combinant les données fournies par un réseau de surveillance mondial. En raison des mouvements du point vernal, ce sont ses coordonnées J2000.0, c'est-à-dire au 1er janvier 2000 à midi UTC, qui servent de référence pour le système de coordonnées équatoriales.

Prise de courant avec minuterie. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c2f82-prise-de-courant-avec-minuterie

Prise de courant avec minuterie

Prise de courant avec minuterie.

Python tacheté. Source : http://data.abuledu.org/URI/5061bb1a-python-tachete

Python tacheté

Le Python tacheté (Antaresia maculosa) est une espèce de serpents de la famille des Pythonidae. Adulte, il mesure de 100 cm à 170 cm pour les plus grands et peut vivre 15 ans. C'est un serpent constricteur ovipare. Les serpents constricteurs ont un corps musclé qui leur permet d'étouffer de grosses proies. Ils ont, généralement, des dents pointues et acérées, recourbées vers l'arrière. Ils attrapent leur proie puis ils s'enroulent autour, et non seulement ils l'empêchent de respirer, mais ils lui bloquent la circulation sanguine. Une fois l'étreinte mortelle finie, ils avalent leur proie la tête la première et mettront un certain temps à la digérer selon son importance. Certains boidés et pythonidés sont parmi les plus grands et les plus lourds serpents qui existent.

Radar à impulsions. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f9bc-radar-a-impulsions

Radar à impulsions

Schéma de fonctionnement du radar à impulsions avec une longueur d'onde de 5,35 cm caractéristique de plusieurs radars météorologiques. Une manière de mesurer la distance à un objet est d'émettre une courte impulsion de signal radio, et de mesurer le temps que prend l'onde pour revenir après avoir été réfléchie. La distance est la moitié du temps de retour de l'onde (car le signal doit aller à la cible puis revenir) multipliée par la vitesse du signal (qui est proche de la vitesse de la lumière dans le vide si le milieu traversé est l'atmosphère). Quand l'antenne est à la fois émettrice et réceptrice (ce qui est le cas le plus courant), l'antenne ne peut pas détecter l'onde réfléchie (aussi appelée retour) pendant que le signal est émis - on ne peut pas savoir si le signal mesuré est l'original ou le retour. Cela implique qu'un radar a une portée minimale, qui est la moitié de la durée de l'impulsion multipliée par la vitesse de la lumière. Pour détecter des cibles plus proches, il faut utiliser une durée d'impulsion plus courte.

Régulateur. Source : http://data.abuledu.org/URI/549deb44-regulateur

Régulateur

Montre ayant au centre une grande aiguille de minutes et l'aiguille d'heures se trouve décentrée dans un autre cadran. Le régulateur était utilisé comme étalon de temps dans les ateliers de réglage.

Relativité restreinte, gerbe de rayons cosmiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b22499-gerbe-png

Relativité restreinte, gerbe de rayons cosmiques

"Gerbe de rayons cosmiques", traduction de "Extended Air Shower": cascade de particules atmosphériques déclenchée par un proton incident. On détecte en astronomie des particules porteuses d'une énergie colossale : les rayons cosmiques. Bien que leur mécanisme de production demeure encore mystérieux, on peut mesurer leur énergie. Les nombres considérables que l'on obtient montrent que leur analyse exige l'emploi des formules de la relativité restreinte. Les rayons cosmiques fournissent donc une illustration idéale de la théorie d'Einstein. On détecte des particules jusqu'à des énergies invraisemblables de l'ordre de 1020 électron-volts, soit cent millions de TeV. Supposons donc qu'un rayon cosmique soit un proton de 1020 eV. Quelle est la vitesse de cette particule ? la vitesse du proton considéré est quasiment égale à la vitesse de la lumière. Elle n'en diffère que par moins de 10-22 (mais ne peut en aucun cas l'égaler). Voyons ce que ces chiffres impliquent pour les facteurs relativistes existant entre le référentiel propre de la particule et le référentiel terrestre. Notre propre Galaxie, de diamètre environ cent mille années-lumière est traversée par la lumière en cent mille ans. Par conséquent pour un observateur terrestre le proton traverse cette Galaxie dans le même temps. L'extraordinaire c'est que dans le référentiel du proton relativiste, le temps correspondant est 1011 fois plus faible, et vaut donc 30 secondes (une année fait 3×107 secondes) ! Notre proton ultra-relativiste et ultra-énergétique traverse notre Galaxie en 30 secondes de son temps propre mais en 100 000 ans de notre temps terrestre. Lorsque ce rayon cosmique heurte un atome d'oxygène ou d'azote de l'atmosphère terrestre à une altitude de l'ordre de 20 à 50 kilomètres au-dessus du sol, une gerbe de particules élémentaires se déclenche contenant en particulier des muons. Une partie d'entre eux se dirigent vers le sol avec une vitesse pratiquement égale à celle de la lumière, de 300 000 kilomètres par seconde dans le référentiel terrestre. Ces particules traversent donc les quelque 30 kilomètres d'atmosphère en 10-4 seconde (ou 100 microsecondes).

Réplique d'un anneau solaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c31fe-replique-d-un-anneau-solaire

Réplique d'un anneau solaire

Réplique d'un anneau de paysan, montre solaire de 1721.

Retard marque horaire GPS. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aa9933-retard-marque-horaire-gps

Retard marque horaire GPS

Retard marque horaire GPS : Le retard se lit grâce au décalage du signal reçu avec la marque horaire. Pour mesurer la pseudo-distance à un satellite le récepteur GPS capte et analyse le signal émis par celui-ci modulé par le code C/A ou le code P. Chaque satellite a un algorithme de génération pseudo-aléatoire de signal différent : un code parmi 31 pour le code C/A; une portion de la séquence totale en ce qui concerne le code P. Cela permet au récepteur de l’identifier, et de calculer le temps de transmission du message. Un moment représentatif du code porté par ce signal est appelé marque horaire et l’algorithme en est connu du récepteur, qui, en juxtaposant le code reçu à celui qu’il génère, est alors capable de mesurer le retard. C’est en multipliant ce dernier par la vitesse de l’onde que l’on peut calculer la pseudo-distance.

Réveil jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5343a44b-reveil-jaune

Réveil jaune

Réveil jaune (Angry Birds).

Sablier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c48759-sablier

Sablier

Sablier.

Sablier. Source : http://data.abuledu.org/URI/513f4c73-sablier

Sablier

Une utilisation courante et familière est le contrôle de la cuisson des œufs à la coque avec des sabliers de 3 minutes.

Sablier. Source : http://data.abuledu.org/URI/5339c23a-sablier

Sablier

Sablier.

Sablier (héraldique). Source : http://data.abuledu.org/URI/524c7dc8-sablier-heraldique-

Sablier (héraldique)

Sablier (héraldique).

Sablier de marine. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c7c53-sablier-de-marine

Sablier de marine

Sablier de marine (musée de Malte).

Sablier en train de se vider. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d36230-sablier-en-train-de-se-vider

Sablier en train de se vider

Icone de sablier en train de se vider.

Sabliers du XVIIIème siècle au Louvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c7d0e-sabliers-du-xviiieme-siecle-au-louvre

Sabliers du XVIIIème siècle au Louvre

Sabliers du XVIIIème siècle au Louvre.

Satellite GPB. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c3ad14-satellite-gpb-

Satellite GPB

Image artistique du satellite "Gravity Probe B" en orbite autour de la Terre pour mesurer l'effet espace-temps. L'idée de recourir à un satellite pour vérifier certains aspects de la théorie de la Relativité générale remontent au début de l'ère spatiale. "Gravity Probe B" est une mission de la NASA développée avec le département de physique de l'université Stanford aux États-Unis, et la compagnie Lockheed Martin comme premier sous-contractant. Cette mission est la deuxième expérience de physique fondamentale portant sur la gravité dans l'espace, après "Gravity Probe A" (GP-A) en 1976. L'effet de précession géodétique ou effet de Sitter découle de la courbure de l'espace-temps créée par le champ gravitationnel d'un objet. Dans le cas d'un objet placé sur une orbite à 640 km d'altitude cet effet induit une rotation de 6,6 secondes d'arc par an. Cet effet a déjà été vérifié notamment à travers l'influence de la Terre sur la Lune avec une précision de 1%.

Sismomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093e571-sismometre

Sismomètre

Sismomètre exposé à l'Observatoire astronomique de Lick en Californie : sa situation offrait d'excellentes conditions d'observation grâce notamment à l'absence de pollution lumineuse, et au fait que le sommet du mont Hamilton se trouve presque toujours au-dessus du brouillard souvent présent dans la baie de San Francisco. Un sismomètre est constitué d'une masse très lourde placée sur une barre fixée à une de ses extrémités et qui pivote dans un plan horizontal (pour les deux sismomètres mesurant les composantes horizontales du déplacement) ou dans un plan vertical (pour le sismomètre mesurant la composante verticale). La masse est reliée au bâti par un ressort. Un aimant, fixé au bâti, entoure le bas du ressort, afin de stabiliser la masse après les secousses, et ainsi éviter que le sismographe n'enregistre des tremblements après la fin du séisme. La masse, en raison de son inertie, ne bouge pas alors que le bâti de l'appareil, fixé au sol, accompagne les mouvements du séisme. La plupart du temps, un sismographe est isolé du monde extérieur, pour éviter des perturbations dans les mesures (vent, pression atmosphérique).

Sommeil de Noël. Source : http://data.abuledu.org/URI/53439fa0-sommeil-de-noel

Sommeil de Noël

Deux gâteaux au chocolat décorés d'un Père Noël endormi sous une couverture étoilée, avec un réveil et la date à son chevet.

Spectrophotomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdd942-spectrophotometre

Spectrophotomètre

Principe du spectrophotomètre UV-visible monofaisceau. Légende : Source polychromatique, Monochromateur, Diaphragme, Cuve avec échantillon, Cellule photoélectrique, Amplificateur, Afficheur. La spectrophotométrie est une méthode analytique quantitative qui consiste à mesurer l'absorbance ou la densité optique d'une substance chimique donnée, généralement en solution. Plus l'échantillon est concentré, plus il absorbe la lumière dans les limites de proportionnalité énoncées par la loi de Beer-Lambert. La densité optique des échantillons est déterminée par un spectrophotomètre préalablement étalonné sur la longueur d'onde d'absorption de la substance à étudier. Un dispositif monochromateur permet de générer, à partir d’une source de lumière visible ou ultraviolette, une lumière monochromatique, dont la longueur d’onde est choisie par l’utilisateur. La lumière monochromatique incidente d’intensité I_0 ; traverse alors une cuve contenant la solution étudiée, et l’appareil mesure l’intensité I ; de la lumière transmise. La valeur affichée par le spectrophotomètre est l’absorbance à la longueur d’onde étudiée. Le spectrophotomètre peut être utilisé pour mesurer de manière instantanée une absorbance à une longueur d’onde donnée, ou pour produire un spectre d’absorbance (spectrophotomètre à balayage). Dans ce dernier cas, le dispositif monochromateur décrit en un temps court l’ensemble des longueurs d’onde comprises entre deux valeurs choisies par l’opérateur.

Système solaire de Képler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0aab5-systeme-solaire-de-kepler

Système solaire de Képler

Source : "Mysterium Cosmographicum" (1596). Le modèle d’Univers de Képler, fondé sur les cinq polyèdres réguliers. La théorie des solides emboîtés, qui amènera plus tard Kepler à découvrir deux nouveaux solides réguliers (voir Les polyèdres de Kepler-Poinsot), si elle nous paraît fantaisiste aujourd’hui, a permis à Kepler d’entrer en contact avec ses contemporains Galilée et Tycho Brahe, mathématicien impérial à la cour de Prague. Ce livre a surtout été apprécié en son temps car il constituait le premier plaidoyer convaincant pour la théorie copernicienne, ne se contentant pas, ainsi que Rheticus l'avait fait, de présenter les avantages du système héliocentrique du point de vue mathématique. Kepler, en effet, cherche (et croit avoir trouvé) les causes (physiques et métaphysiques) du nombre, de la disposition et des mouvements des planètes. Cette recherche des causes (physiques), que Kepler poursuivra tout au long de sa vie, constitue l'acte fondateur de l'invention d'une nouvelle science : l'astrophysique.

Technique de l'escalade 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5230d5dc-technique-de-l-escalade-3

Technique de l'escalade 3

Dessin d'escalade sur la technique de progression de grimpe en second. L'escalade en second est pratiquée sur les voies de plusieurs longueurs. Dès que le grimpeur qui monte en tête atteint le relais, il s'y accroche de manière fixe (on dit qu'il se « vache »). Il assure ensuite depuis le relais celui qui monte en second. Au fur et à mesure de sa progression, le second récupère les dégaines posées par le premier pour assurer sa progression. Arrivé au relais, le second peut alors enchaîner sur la longueur suivante, qu'il grimpera alors en tête - on parle de « progression en réversible ». Il peut aussi rester au relais pour assurer son compagnon. Cette deuxième solution (dite de « progression en leader fixe »), qui s'impose quand le second n'est pas assez expérimenté pour gérer une longueur en tête, présente l'inconvénient de nombreuses manœuvres au relais : la corde doit être ravalée, les dégaines rendues au premier, de plus, cette opération demande la gestion des « vaches ». Tout cela prend du temps et peut être rédhibitoire pour les plus longues voies.

Tempus valet, volat, velat. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a79f9-tempus-valet-volat-velat

Tempus valet, volat, velat

Le temps a de la valeur, le temps s'envole, le temps pose un voile. (Tempus valet volat velat). Resiutta, commune italienne de la province d'Udine dans la région Frioul-Vénétie julienne.

Théorie de la nutation. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b09ce2-theorie-de-la-nutation

Théorie de la nutation

Schéma du mouvement de l'axe d'une planète : R (vert) - Rotation, P - Précession (bleu), N - Nutation en oblique (rouge). S'applique à la Terre. La nutation est un balancement périodique de l'axe de rotation de la Terre autour de sa position moyenne, qui s'ajoute à la précession. Due à l'attraction conjuguée du Soleil et la Lune, la nutation se traduit par une oscillation de l'axe de rotation de la Terre pouvant aller jusqu'à 17,2" (secondes d'arc) avec une période de 18,6 ans, qui est égale à celle de la précession du nœud ascendant de l'orbite lunaire. Le pôle vrai dessine alors autour du pôle moyen une ellipse dont le grand axe mesurant 9,21" est dirigé vers le point vernal. Classiquement, la nutation est décomposée en deux composantes : Nutation en longitude, décrivant l'oscillation du point vernal vrai autour du point vernal moyen et Nutation en obliquité, décrivant l'oscillation de l'équateur vrai autour de l'équateur moyen.

Tour Zimmer à Lierre en Belgique. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a4e04-tour-zimmer-a-lierre-en-belgique

Tour Zimmer à Lierre en Belgique

Tour Zimmer à Lierre en Belgique : comportant une horloge, les phases de la lune, le cycle métonique (mois lunaires), l'équation du temps, le zodiaque, le cycle solaire et la lettre du dimanche, la semaine, le Globe, les mois, la date, les saisons, les marées et les phases lunaires.